POUR LE RETRAIT DU PROJET DE LOI INIQUE SUR LES RETRAITES
MANIFESTATIONS EN CORREZE

Soyons nombreux : nous avons les moyens de faire céder le gouvernement de N. Sarkozy !
Pour nous contacter : PG19
        	       
        		
                
		    Mai 27

Pour nous contacter : PG19
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Mai 11

Mercredi 12 mai à 17 h
Rassemblement pour la Grèce
Devant la Préfecture de Tulle
Une délégation sera reçue au Cabinet du Préfet
VENEZ NOMBREUX !
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Mai 10
avec Martine Billard, porte-parole du Parti de Gauche,
Catherine Mills, membre du Comité National du PCF et du secteur Economie,
Jean-Jacques Boislaroussie, porte-parole des Alternatifs,
Christian N’Guyen, du comité exécutif du NPA et
Louis-Marie Barnier, sociologue et syndicaliste, de la Fondation Copernic.
 

Leurs interventions seront suivies d’un échange avec la salle pour confronter et enrichir les arguments de tous… 
Cette réunion s’inscrit dans le cadre proposé par la Fondation Copernic (déjà à l’initiative, en 2005, de l’appel à mobilisation unitaire contre le Traité Constitutionnel Européen). Vous pouvez consulter le texte d’appel de la fondation Copernic ici : http://blog.exigences-citoyennes-retraites.net/?p=1
On compte sur votre présence ! 
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Avr 12

Adresse pour un rassemblement de l’autre gauche au service de la transformation sociale et écologique
Le résultat des élections régionales marque une défaite cuisante et sans appel pour la droite. Sa victoire de 2007 est effacée. Une nouvelle phase commence. Ce scrutin a aussi exprimé, avec notamment la très forte abstention et la réapparition du Front national, l’exaspération politique de la société. Le Président Sarkozy et son gouvernement en sort illégitime, alors qu’il s’apprête à poursuivre, en France et avec ses alliés dans toute l’Europe, le déroulement de son programme ultralibéral. Nous avons besoin d’un mouvement uni et solidaire qui aide à résister à cette offensive destructrice. Nous avons besoin d’un rassemblement de toute la gauche de transformation sociale et écologique qui redonne l’espoir d’une autre politique aux classes populaires. Nous avons besoin d’ouvrir un nouveau chemin progressiste dans la crise politique qui s’approfondit.
Au sortir des régionales, la gauche se présente à travers trois espaces politiques qui représentent deux voies : le Parti socialiste et ses alliés, Europe Ecologie, d’une part, le Front de Gauche d’autre part.
Le premier tour a coupé la route de l’alliance avec le Modem que voulait emprunter le Parti socialiste. Celui-ci s’est donc rabattu sur une nouvelle formule, la « gauche solidaire ». Mais le PS reste engagé dans cette alliance démocrate au plan européen. En Grèce, le premier ministre, président de l’Internationale socialiste, prouve l’impuissance de cette ligne. Pour notre part, face à la crise écologique, sociale et politique, nous prônons des politiques de rupture et un gouvernement capable de sortir du traité de Lisbonne. C’est une divergence fondamentale avec le PS.
Europe Ecologie se présente comme en recherche de nouvelles façons de faire de la politique mais trouve son ancrage dans un projet d’accompagnement du système capitaliste et de l’Union européenne actuelle, et dans une grande ambiguïté quant à ses alliances politiques pouvant aller jusqu’au centre. Or il nous semble impossible d’affronter sur de telles bases la catastrophe écologique. Pour nous celle-ci est la conséquence du capitalisme et de son fondement productiviste.
De son côté, le Front de gauche s’est ancré à l’occasion de ces Régionales en se présentant dans 17 régions. Il a su s’ouvrir à d’autres forces. Une dynamique unitaire a été initiée. Un outil existe pour résister et reconstruire. Dans le Limousin, les 19% obtenus par notre liste au deuxième tour ont montré les grandes potentialités d’une autre gauche autonome et rassemblée. Dans ce moment nous voulons rappeler que nous avons créé le Parti de Gauche comme outil pour réaliser cette union. Nous mettons cet outil en partage avec tous ceux qui veulent agir comme nous pour l’écologie, le socialisme, la République. Notre horizon n’est pas seulement notre propre développement mais la naissance d’une force politique nouvelle de rassemblement.
Le temps n’est plus à la dispersion, mais à l’unité de l’autre gauche pour changer la donne à gauche. Certes beaucoup reste à faire, nous en sommes conscients mais nous avons la responsabilité de ne pas perpétuer les initiatives parcellaires. Nous voulons transformer avec vous le Front de Gauche en un rassemblement large de toute l’autre gauche, celle qui assume les ruptures nécessaires à la transformation sociale et écologique. C’est pourquoi nous proposons aux Alternatifs, au MPEP, au PCOF, à R&S et à Alternative citoyenne, aux camarades du NPA et de la FASE, à toutes les militantes, à tous les militants, aux courants et aux forces qui ont participé régionalement aux listes « Ensemble pour des régions à gauche, solidaires, écologiques et citoyennes » et plus généralement au x listes unitaires de l’Autre gauche », de construire ensemble ce Front de Gauche renouvelé et élargi.
Le Front de Gauche a vocation à être un outil politique, candidat au pouvoir, au service des intérêts du plus grand nombre, auquel les citoyens pourront adhérer directement. Nous vous proposons de réfléchir ensemble aux initiatives et aux formes du regroupement qui permettront de donner ce nouveau souffle au Front de Gauche. Construisons ensemble un Front de Gauche unitaire et démocratique, clairement écologiste et anticapitaliste, suffisamment fort pour changer la donne et ne pas tomber dans les ornières de la gauche plurielle, même rebaptisée « gauche solidaire ». Bref un rassemblement qui engage cette alternative politique dont nous ressentons tous l’urgence.
• Pour l’unité de l’autre gauche et son autonomie dans toutes les échéances électorales, cantonales de 2011, présidentielle et législatives de 2012, comme dans les luttes.
• Pour une démarche de rupture avec le capitalisme et le productivisme.
• Pour un gouvernement de Front de Gauche, apte à faire face aux crises sociale, écologique, économique et démocratique.
Paris, le 11 avril 2010
Le Conseil national du Parti de Gauche
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Avr 12

Entretien exclusif avec Jean-Luc Mélenchon lors du CN des 10 et 11 avril 2010 : voir la vidéo
Voir les photos du CN
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Mar 25
Publié par Jean-Luc Mélenchon – Dimanche, 21 Mars 2010 22:51

Je suis indigné par les méthodes lamentables du prétendu service public télévisuel à l’occasion de cette soirée électorale.    
France 2 comme France 3 ont décidé de m’éliminer au dernier moment de leurs plateaux, où j’étais pourtant invité depuis plusieurs jours, à 20h sur France 2 et à partir de 20h30 sur France 3. En bloquant ainsi indumment mon agenda pour cette soirée électorale, France Télévisions m’a empêché de pouvoir m’exprimer sur d’autres médias auxquels j’avais renoncé pour être présent sur France 2 et France 3.  
France télévisions n’a ainsi accueilli en plateau que l’UMP et le PS, tout le reste du paysage politique étant éliminé du débat, à l’exception de dérisoires et éphémères duplexs.
France Télévisions a pousé la grossiereté jusqu’à justifier ces plateaux dualistes en raison de la grève qui affectaient ses services. C’est une imposture. Sur le plateau de France 3, on pouvait par exemple observer la présence de 4 invités (2 PS, 2 UMP + 2 chaises vides dont celle où je devais me trouver!). Pourquoi opter pour un tel plateau, alors qu’une place aurait parfaitement pu être faite à un intervenant du Front de Gauche comme cela était prévu au départ ?
Ce nouvel incident s’ajoute à une triste succession. Après m’avoir éliminé de ses écrans pendant toute la campagne électorale jusqu’au 1er tour, et avoir annulé à 4 reprises mon invitation à sa matinale des 4 Vérités, France 2 a une nouvelle fois (la 5ème) annulé ma participation à cette matinale mercredi dernier, alors même que celle-ci m’avait été confirmée par écrit. Quant aux antennes régionales de France 3, elles avaient également éliminé les candidats du Front de Gauche de leurs débats contradictoires dans plusieurs régions, aussi bien pendant la campagne que lors des soirées électorales.
Par ces choix déplorables, France Télévisions piétine le pluralisme politique qui devrait être au coeur du travail du service public audiovisuel.
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Mar 25

« Nous remercions chaleureusement les 56.000 électrices et électeurs qui ont apporté, dimanche 21 mars, leur confiance et leur soutien à la liste « Limousin, Terre de Gauche », conduite par Christian Audouin.
Au travers des 19,1 % de suffrages accordés à notre liste, ils ont créé un événement politique fort en Limousin, se traduisant par l’élection de six d’entre nous. Ce score, en amplifiant très nettement celui, déjà remarquable, du premier tour, témoigne d’une forte approbation de notre offre politique nouvelle et de nos propositions sociales, économiques et écologiques.
Il bénéficie d’un retentissement national. Nos électrices et électeurs ont exprimé par leur vote une condamnation sans appel de la politique de Nicolas Sarkozy et de l’UMP. Ils ont tout aussi nettement exprimé leur satisfaction d’avoir ouvert un nouvel espoir à gauche par la construction d’une alternative libérale.
Nos élus sont, sans attendre, au service de la défense de celles et de ceux qui souffrent des injustices sociales, et des nécessaires contre-offensives à organiser face aux réformes sarkozystes. Avec indépendance d’esprit, autonomie politique et esprit de responsabilité, ils sont les représentants d’une gauche de combat et de rassemblement. »
Limousin Terre de Gauche
Nos élus au Conseil Régional :
Christian Audouin, Corrèze (PCF),
Stéphane Lajaumont, Haute-Vienne (NPA)
Véronique Momenteau, Corrèze (NPA)
Laurence Pache, Creuse (PG)
Joël Ratier, Haute-Vienne (PCF)
Pascale Rome, Haute-Vienne (PCF)
Contact : PG19
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Mar 01

Intervention de Marc Dolez (Parti de Gauche), le 18 février 2010 à la tribune de l’Assemblée Nationale, pour dénoncer la réforme territoriale voulue par le gouvernement.
Monsieur le président, monsieur le secrétaire d’État, mes chers collègues, le  débat sur les collectivités territoriales n’est pas simplement un débat  technique qui n’intéresserait ou ne concernerait que les élus, comme on essaie  trop souvent de nous le faire croire. Dans la perspective de la réforme  territoriale du Gouvernement, nous pensons au contraire qu’il s’agit d’un débat  éminemment politique – probablement l’un des plus importants de la législature –  dont les enjeux sont d’une exceptionnelle gravité.
Sous couvert de procéder à  des allégements, à des clarifications, à des simplifications, votre réforme des  collectivités territoriales, monsieur le secrétaire d’État, s’attaque aux  fondements mêmes de l’organisation républicaine de notre pays, une organisation  héritée de la Révolution française et de notre histoire démocratique. Il s’agit  en fait d’une offensive sans précédent contre le système français de protection  collective et de solidarité républicaine.
Le Gouvernement invoque  régulièrement le millefeuille administratif, présentation inexacte et trompeuse.  Dans notre organisation territoriale, qui comporte essentiellement six niveaux –  communes, regroupements de communes, départements, régions, nation, Europe – le  triptyque communes-départements-État est historique, comme l’a brillamment  démontré Anicet Le Pors dans un article paru au mois de décembre dernier : il  structure politiquement le pays tandis que le triptyque regroupements de  communes-régions-Europe est à dominante économique.
Le politique devrait  prévaloir sur l’économique.
Mais c’est le choix inverse qu’ont fait le  Président de la République et le Gouvernement. Régions et intercommunalités  deviennent, avec votre projet, les échelons privilégiés car ils correspondent le  mieux à la vision économique libérale, à une mise en concurrence conforme aux  dogmes qui guident l’Union européenne.
L’objectif réel de la réforme, comme  l’avoue sans détour Nicolas Sarkozy, est « d’adapter notre territoire aux  réalités de la mondialisation et de l’économie contemporaine ».
Pour notre  part, nous défendons l’axe communes-départements-État parce qu’il privilégie le  rapport de proximité avec les citoyens et la mise en œuvre d’un système de  solidarité républicaine et collective au plus près des habitants. Il nous semble  toujours le plus adapté aux besoins actuels.
Nous nous opposons totalement à  l’objectif de réduire le nombre de communes, lesquelles doivent rester l’échelon  de base de l’action publique. Jaurès, qui était aussi un exceptionnel historien  de la Révolution française, disait que le principal apport de la Révolution  était probablement l’instauration des 44 000 communes démocratiques – il en  reste aujourd’hui 36 000 –, instauration qui a « mis en mouvement, en vibration,  toutes les cellules, toutes les fibres de l’organisme social ».
Nous sommes  pour notre part fermement attachés aux principes constitutionnels de libre  administration des communes et de non-tutelle d’une collectivité sur une autre,  desquels découle la notion intangible d’intercommunalité de projet. La loi du 12  juillet 1999 l’avait d’ailleurs clairement affirmé : aux termes de l’article L.  5210-1 du code général des collectivités territoriales, les groupements de  communes se fondent sur la « libre volonté des communes d’élaborer des projets  communs de développement au sein de périmètres de solidarité ».
Ces principes  s’opposent à l’intercommunalité forcée que, quoi qu’il en dise, le Gouvernement  veut instituer, conformément aux recommandations du rapport Balladur et aux  déclarations mêmes du Président de la République, qui, le 20 octobre 2009,  affirmait : « Il y a trop de structures communales, il faut supprimer les  syndicats inutiles, réduire le nombre de structures ». Si l’objectif est  parfaitement clair, la méthode, elle, est plus insidieuse car nos collectivités  territoriales ne peuvent être explicitement supprimées d’un trait de  plume.
Sous couvert de renforcement et de généralisation des différentes  formes d’intercommunalité et d’interterritorialité, c’est en réalité une  nouvelle architecture qui se profile. Vont en effet se côtoyer nos collectivités  actuelles, appelées à terme à disparaître puisqu’elles seront transformées en  coquille vide et seront asphyxiées financièrement, et de nouvelles institutions,  plus intégrées, qui seront les futures collectivités. Comment lire autrement la  proposition de créer des communes nouvelles, ne regroupant pas moins de 5 000  habitants, ou de créer des métropoles d’au moins 450 000 habitants, qui  entraîneront rapidement et immanquablement une profonde déstabilisation des  départements ?
Quatre principes au moins nous semblent caractériser cette  machine infernale qu’engendreront les différents textes concourant à la réforme  territoriale que vous vous apprêtez à déposer :
D’abord, une régression  démocratique avec l’affaiblissement de la démocratie locale et l’éloignement des  centres de décision ;
Ensuite, une centralisation que je qualifierai  volontiers de féodale, symbolisée par les pouvoirs coercitifs donnés aux préfets  en matière d’intercommunalité ;
Par ailleurs, la limitation de l’intervention  publique sous l’effet conjoint de la suppression de la clause générale de  compétence et de l’assèchement des ressources financières des collectivités  territoriales, déjà bien entamé avec la suppression de la taxe professionnelle  ;
Enfin, une mise en concurrence exacerbée des territoires qui creusera  encore un peu plus les inégalités entre eux.
Cet affaiblissement des  compétences et de la démocratie locale ne profite pas pour autant aux  administrations déconcentrées de l’État, affaiblies elles aussi par la révision  générale des politiques publiques, la RGPP, qui entraîne une réduction des  effectifs et des moyens. On ne peut pas analyser votre projet de réforme  territoriale sans mettre en parallèle la réforme de l’État déjà engagée avec  cette RGPP.
Ce double affaiblissement aura notamment pour conséquence de  réduire les services publics relevant soit des collectivités territoriales, soit  de l’État. Dans le même temps, il ouvre largement le champ au secteur privé pour  occuper les espaces abandonnés par la responsabilité publique.
Toutes ces  conséquences dessinent ainsi, non une réforme qui servirait l’intérêt général,  mais bien ce que d’aucuns appellent, à juste titre, une contre-révolution au  service des grandes puissances économiques. Cette réforme, combinée avec la  RGPP, porte en germe la remise en cause du principe fondamental d’égalité  républicaine : la destruction de l’égalité des citoyens devant l’impôt et les  services publics.
Avant de conclure, et après avoir dénoncé ce que je crois  être la philosophie de cette réforme territoriale, j’évoquerai plus  particulièrement le mode de scrutin que vous avez retenu pour le moment, pour la  désignation des conseillers territoriaux.
Il y aurait, à l’évidence, beaucoup  de choses à dire sur l’instauration de ces conseillers territoriaux, sur le mode  de scrutin utilisé, qui va combiner un scrutin uninominal majoritaire à un tour  avec une pincée de proportionnelle, et sur sa constitutionnalité. Je veux mettre  en garde le Gouvernement contre cette idée un peu folle qui consiste à  introduire dans notre République le mode de scrutin à un tour qui existe par  exemple en Grande-Bretagne.
Ce mode de scrutin, totalement inédit et étranger  à notre tradition républicaine, risque de menacer sérieusement notre pluralisme  politique, le multipartisme qui structure la vie politique française depuis près  de deux siècles.
Évidemment, ce mode de scrutin n’est pas dénué  d’arrière-pensées électorales à court ou moyen terme pour ceux qui le  promeuvent. Au-delà, il tend à imposer dans ce pays qui n’en veut pas le  bipartisme et à rayer les petits partis politiques de la carte. Notre démocratie  ne peut en sortir qu’en lambeaux. Aussi, je demande au Gouvernement de bien  réfléchir avant de persister dans cette voie mortifère pour la démocratie et la  République.
Monsieur le secrétaire d’État, vous le savez, les députés du  groupe de la Gauche démocrate et républicaine sont résolument opposés à ce  projet de réforme territoriale qui touche aux fondements même de nos  institutions, de notre démocratie et de la République. Compte tenu de la gravité  de ces attaques, de leurs conséquences pour la République et l’ensemble de nos  concitoyens, le mieux serait de retirer le projet. Mais comme je n’ai pas le  sentiment que ce soit dans vos intentions, je suggère au Gouvernement de  réfléchir au fait qu’il n’y a guère que le peuple qui pourrait décider de ces  nouvelles orientations.
Monsieur le secrétaire d’État, organisez un  référendum sur cette question et donnez la parole au peuple !
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